Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
bon SVR jette l'eponge Sodebo s'arrete voir les diables BP gait le grand tour par le detroit de Bath et peut etre le nord de la NZ... Et entre temps le Gitana s'envolle directe vers le cap..
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
Ca vas être chaud......
ARKEA/ FB
La météo impose un temps d’arrêt à Charles Caudrelier et au Maxi Edmond de Rothschild qui peut se permettre de temporiser à l’approche du cap Horn, leader avec 3 500 milles d’avance sur ses plus proches poursuivants après 25 jours de course.
Avec l’appui et l’expertise de sa cellule de routage, il a pris hier soir la décision de mettre sa course sur pause pour une durée encore indéterminée. Les conditions météorologiques attendues ce week-end aux alentours du cap Horn s’avèrent absolument incompatibles avec le passage du célèbre rocher, situé en Terre de Feu à l’extrémité sud de l’Amérique Latine. Un très large système dépressionnaire, résultat de la combinaison de deux dépressions, va balayer la zone et rendre toute navigation périlleuse ; des vents violents – de 50 à 70 nœuds dans les rafales – et une mer très forte sont attendus selon les prévisions.
Les mers du Sud sont intraitables avec les concurrents de l’Arkea Ultim Challenge. Ces derniers jours, les solitaires doivent faire face à des conditions météorologiques difficiles. Pour preuve, dans le groupe des poursuivants, Armel Le Cléac’h a dû doubler la Tasmanie en empruntant le détroit de Bass et fait désormais une route très Nord pour contourner la Nouvelle-Zélande et échapper à des dépressions très actives dans son Sud. Ce choix de route singulier, est bien évidemment contre-productif pour la performance et la compétition, mais s’avère pourtant indispensable et responsable pour la préservation de l’homme et de la machine.
Depuis plus de trois jours, la cellule routage du Maxi Edmond de Rothschild observe elle aussi la situation mais vers le Horn, encore distant de 1 800 milles hier soir. Le trio météo, composé d’Erwan Israël, Julien Villion et Benjamin Schwartz, réalise des routages à chaque sortie de nouveaux modèles. La nuit dernière, peu de temps avant l’heure limite qu’ils s’étaient fixés avec Charles Caudrelier, la décision s’est imposée d’elle-même, comme nous le détaillait Erwan Israël : « Nous avons patienté, pour laisser toutes les chances de notre côté, et espéré au fil des jours que la situation générale s’améliore. Mais, au contraire, elle s’est fortement dégradée. Ce n’était absolument pas envisageable de s’engager vers le Horn avec un tel scénario météo. C’était un guet-apens qui se serait refermé sur nous sans échappatoire possible puisque dans le Sud nous sommes limités par la Zone d’Exclusion Antarctique. Nous sommes face à une dépression australe qui fait du Nord-Est et qui vient sur notre route. Elle est par 70° Sud pour le moment. Il y a une deuxième dépression dans le Nord de cette première. Dans les prochains jours, ces deux systèmes vont se rencontrer et fusionner ; ça sera explosif. Ce phénomène violent est sur notre route et dans notre timing. Si nous continuons d’avancer nous allons nous retrouver au centre de cette énorme dépression très creuse. D’autant que dans cette zone, en approche du cap Horn et avec la cordillère des Andes, il y a une énorme compression et une amplification. »
« Si nous avions pu poursuivre notre route avec une météo plus classique, notre passage du cap Horn était estimé pour le week-end prochain. Nous serions très probablement passés dimanche, le 4 février. Sur ce créneau justement, les prévisions estiment des vents proches des 70 nœuds en rafales et une mer très forte associée. Notre décision, malgré la frustration évidente de s’arrêter et de s’imposer une pause synonyme de perte de temps et de milles, a été unanime et partagée. C’est un choix sécuritaire évident, du bon sens marin », ajoutait Cyril Dardashti, le directeur de l’écurie Gitana.
Le temps d’attente imposé par la situation météorologique n’est pas encore clairement défini car ce dernier dépendra naturellement de l’évolution des conditions en approche du cap Horn. Mais il est d’ores et déjà clair qu’il se comptera en dizaines d’heures. À bord du Maxi Edmond de Rothschild, Charles Caudrelier mettra ce temps précieux à profit. En se reposant tout d’abord mais en réalisant également quelques travaux et des vérifications demandées par son équipe technique. Les membre du Gitana Team lui ont en effet déjà préparé une liste de contrôles bien venus après plus de 18 000 milles parcourus tambour battant. « Je savais que cette course allait être une aventure et bien ça se confirme. Le cap Horn ne veut pas nous laisser passer pour le moment ! Il y a une énorme dépression qui va se présenter devant nous et avec mes routeurs nous avons fait le choix d’être patients. Nous avons une belle avance et nous allons essayer de la conserver au maximum. C’est la première fois de ma vie qu’une telle situation m’arrive en course. C’est très frustrant bien sûr car le cap Horn est là ! En temps normal je pourrais y être en 2 jours. Mais il faut aussi relativiser par rapport à mes camarades derrière. Par rapport à la météo ou encore aux soucis qu’ils ont eus. J’ai un bateau et un bonhomme en pleine forme. Je garde le sourire et je reste positif même si je vais surement ronger mon frein en voyant les milles diminuer. Une semaine d’avance c’était peut-être beaucoup et pourtant c’est ce qui m’attendais là, mais le cap Horn avec plus d’une journée d’avance n’importe quel tourdumondiste en rêve et je pense que j’aurai plus que ça. »
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La météo impose un temps d’arrêt à Charles Caudrelier et au Maxi Edmond de Rothschild qui peut se permettre de temporiser à l’approche du cap Horn, leader avec 3 500 milles d’avance sur ses plus proches poursuivants après 25 jours de course.
Avec l’appui et l’expertise de sa cellule de routage, il a pris hier soir la décision de mettre sa course sur pause pour une durée encore indéterminée. Les conditions météorologiques attendues ce week-end aux alentours du cap Horn s’avèrent absolument incompatibles avec le passage du célèbre rocher, situé en Terre de Feu à l’extrémité sud de l’Amérique Latine. Un très large système dépressionnaire, résultat de la combinaison de deux dépressions, va balayer la zone et rendre toute navigation périlleuse ; des vents violents – de 50 à 70 nœuds dans les rafales – et une mer très forte sont attendus selon les prévisions.
Les mers du Sud sont intraitables avec les concurrents de l’Arkea Ultim Challenge. Ces derniers jours, les solitaires doivent faire face à des conditions météorologiques difficiles. Pour preuve, dans le groupe des poursuivants, Armel Le Cléac’h a dû doubler la Tasmanie en empruntant le détroit de Bass et fait désormais une route très Nord pour contourner la Nouvelle-Zélande et échapper à des dépressions très actives dans son Sud. Ce choix de route singulier, est bien évidemment contre-productif pour la performance et la compétition, mais s’avère pourtant indispensable et responsable pour la préservation de l’homme et de la machine.
Depuis plus de trois jours, la cellule routage du Maxi Edmond de Rothschild observe elle aussi la situation mais vers le Horn, encore distant de 1 800 milles hier soir. Le trio météo, composé d’Erwan Israël, Julien Villion et Benjamin Schwartz, réalise des routages à chaque sortie de nouveaux modèles. La nuit dernière, peu de temps avant l’heure limite qu’ils s’étaient fixés avec Charles Caudrelier, la décision s’est imposée d’elle-même, comme nous le détaillait Erwan Israël : « Nous avons patienté, pour laisser toutes les chances de notre côté, et espéré au fil des jours que la situation générale s’améliore. Mais, au contraire, elle s’est fortement dégradée. Ce n’était absolument pas envisageable de s’engager vers le Horn avec un tel scénario météo. C’était un guet-apens qui se serait refermé sur nous sans échappatoire possible puisque dans le Sud nous sommes limités par la Zone d’Exclusion Antarctique. Nous sommes face à une dépression australe qui fait du Nord-Est et qui vient sur notre route. Elle est par 70° Sud pour le moment. Il y a une deuxième dépression dans le Nord de cette première. Dans les prochains jours, ces deux systèmes vont se rencontrer et fusionner ; ça sera explosif. Ce phénomène violent est sur notre route et dans notre timing. Si nous continuons d’avancer nous allons nous retrouver au centre de cette énorme dépression très creuse. D’autant que dans cette zone, en approche du cap Horn et avec la cordillère des Andes, il y a une énorme compression et une amplification. »
« Si nous avions pu poursuivre notre route avec une météo plus classique, notre passage du cap Horn était estimé pour le week-end prochain. Nous serions très probablement passés dimanche, le 4 février. Sur ce créneau justement, les prévisions estiment des vents proches des 70 nœuds en rafales et une mer très forte associée. Notre décision, malgré la frustration évidente de s’arrêter et de s’imposer une pause synonyme de perte de temps et de milles, a été unanime et partagée. C’est un choix sécuritaire évident, du bon sens marin », ajoutait Cyril Dardashti, le directeur de l’écurie Gitana.
Le temps d’attente imposé par la situation météorologique n’est pas encore clairement défini car ce dernier dépendra naturellement de l’évolution des conditions en approche du cap Horn. Mais il est d’ores et déjà clair qu’il se comptera en dizaines d’heures. À bord du Maxi Edmond de Rothschild, Charles Caudrelier mettra ce temps précieux à profit. En se reposant tout d’abord mais en réalisant également quelques travaux et des vérifications demandées par son équipe technique. Les membre du Gitana Team lui ont en effet déjà préparé une liste de contrôles bien venus après plus de 18 000 milles parcourus tambour battant. « Je savais que cette course allait être une aventure et bien ça se confirme. Le cap Horn ne veut pas nous laisser passer pour le moment ! Il y a une énorme dépression qui va se présenter devant nous et avec mes routeurs nous avons fait le choix d’être patients. Nous avons une belle avance et nous allons essayer de la conserver au maximum. C’est la première fois de ma vie qu’une telle situation m’arrive en course. C’est très frustrant bien sûr car le cap Horn est là ! En temps normal je pourrais y être en 2 jours. Mais il faut aussi relativiser par rapport à mes camarades derrière. Par rapport à la météo ou encore aux soucis qu’ils ont eus. J’ai un bateau et un bonhomme en pleine forme. Je garde le sourire et je reste positif même si je vais surement ronger mon frein en voyant les milles diminuer. Une semaine d’avance c’était peut-être beaucoup et pourtant c’est ce qui m’attendais là, mais le cap Horn avec plus d’une journée d’avance n’importe quel tourdumondiste en rêve et je pense que j’aurai plus que ça. »
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais tout ça on le savait. C’est navrant, frustrant, mais on le savait… À moins d’un coup de bol fondamental, inouï, ça ne fonctionne pas. Et si ça fonctionne, c’est juste de l’ordre de l’aléa. C’est juste pas maîtrisable tout ça actuellement.
En attendant soyons positifs ça fait avancer….
En attendant soyons positifs ça fait avancer….
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
Hel saison 4 ? ? ca sent l'année de la Coupe...Bienvenue!!!Hel a écrit : Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais tout ça on le savait. C’est navrant, frustrant, mais on le savait… À moins d’un coup de bol fondamental, inouï, ça ne fonctionne pas. Et si ça fonctionne, c’est juste de l’ordre de l’aléa. C’est juste pas maîtrisable tout ça actuellement.
En attendant soyons positifs ça fait avancer….
Pas d'affolement , jusque 'îci tout vas bien ,jusque 'îci tout vas bien , jusque 'îci tout vas bien...
Avec des bateaux qui tapent les 30 noeuds de moyenne on a forcément des stratégies différentes et inédites....pour le moins
alors on croisent les doigts
au fond de moi même je trouve toujours un côté déraisonnable a tout ca et vaguement inquiétant
un petit côté est ce bien raisonnable
je me rassure en me disant que c'est quand même des grands pros et qu 'il sont pas obligés
Certains skippers du VG semblent plus dubitatifs sur le côté humain/inhumain des nouveaux bateaux
Et se pose la question de Coluche : jusque 'ou s'arrêteront ils ???
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
Croisons les doigts (jusqu’à ce qu’on n’ait plus de doigts…) j
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
Le premier bilan provisoire a mi course est pas mauvais
Et quand SVR fait un très gros trou et une piscine intérieure il ramène
le bateau tranquillou
La ou un IMOCA aurait couler
bon on va continuer a croiser les doigts jusqu au dernier a bon port
Et quand SVR fait un très gros trou et une piscine intérieure il ramène
le bateau tranquillou
La ou un IMOCA aurait couler
bon on va continuer a croiser les doigts jusqu au dernier a bon port
- Hel
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
Je n’aimais pas trop l’idée de cette course (je ne vais pas me répéter) mais à l’épreuve, je réfléchis, toutes les courses sont vaines… mais belles aussi. Bé si ! Et je pense à ceux qui mènent leur monture, et à ceux qui gèrent ces montures. (Moi je suis proches du petit peuple des fourmis). Donc… si ça passe… et que ça fait avancer des choses…
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
Des milliers ,millions, d'âmes souhaitent que ca passe bien sûr ca c 'est la réponse facileHel a écrit : Je n’aimais pas trop l’idée de cette course (je ne vais pas me répéter) mais à l’épreuve, je réfléchis, toutes les courses sont vaines… mais belles aussi. Bé si ! Et je pense à ceux qui mènent leur monture, et à ceux qui gèrent ces montures. (Moi je suis proches du petit peuple des fourmis). Donc… si ça passe… et que ça fait avancer des choses…
Faire avancer les choses c 'est le débat sans fin la question implicite qu 'il fallait pas poser parce que pas de réponses définitives
Faire avancer les choses oui mais dans quelle direction ??? pas de vérité incontestable
Le fait-on pour l'argent ? pour la gloire? pour faire avancer les choses ?'?
ou juste parce que c 'est la ,et que l'on en a envie ! quoi qu 'il en coûte ?
avec cette question : quand tu as gagné le tour du monde en solitaire ,que reste t il de tes rêves
pas de montagne plus haute......
Et la fameuse phrase me vient a l'esprit
"Tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre"
et basta pas besoin de chercher plus loin
La ,est ce que l'on peut échanger : bonheur au lieu de malheur , ce serait euphorique!
Et le morceau de Gerard Manset dont les textes ont nourris mes réflexions depuis 68
Nous avons marché le long des sentiers
Parmi nous, certains sont tombés
Et tous les autres que deviennent-ils?
Nous sommes prisonniers de l'inutile
Derrière nous, campagnes et villages
Ensevelis sous le lierre sauvage
Ou seul un chien peut-être vit tranquille
Nous sommes prisonniers de l'inutile
Nous sommes prisonniers
Des liens qui nous attachent
Et nous souffrons
Dans notre cœur, comme une tache
Quelque chose qui grandit
Et qui se cache
Nous sommes prisonniers des liens
Qui nous attachent
Quelques croix sont plantées sur le chemin
Que les bourreaux nous montrent de la main
Disant "de l'autre monde, que reste-il?"
Nous sommes prisonniers de l'inutile
Au-delà de nous, dans le ciel de plomb
Y a-t-il un Dieu, quelqu'un, nous l'appelons?
Nous oublier, comment le peut-il?
Nous sommes prisonniers de l'inutile
Nous sommes prisonniers
Des liens qui nous attachent
Et nous souffrons
Dans notre cœur
Quelque chose qui grandit
Et qui se cache
Nous sommes prisonniers des liens
Qui nous attachent
Prisonniers de l'inutile
Bon c 'était la minute "une bière de trop "
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- Pied de mât
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
armel doit encore s’arrêter
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- Pied de mât
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
2 safrans en moins pour armel. j'espère que BP en a en stock sinon c'est cuit.
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- Soutier
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
Un safran endommagé car ayant touché une bille de bois à haute vitesse, cela n'est vraiment pas de chance. Par contre, le safran central qui aurait cassé net, sans choc apparent avec un OFNI, là, c'est quand même plus inquiétant ! Comment sont faits les calculs de résistance et de fatigue des pièces mécaniques ?!
En tous cas, chez GITANA, ils doivent jubiler ! (eux qui avaient eu quelques soucis sur la dernière transat Jacques Vabre en double).
En tous cas, chez GITANA, ils doivent jubiler ! (eux qui avaient eu quelques soucis sur la dernière transat Jacques Vabre en double).
- leloublan
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
Question calcul ben c 'est des bureaux ingénieurs avec les meilleures logiciels et ingénieurs en compositeBattista a écrit : Un safran endommagé car ayant touché une bille de bois à haute vitesse, cela n'est vraiment pas de chance. Par contre, le safran central qui aurait cassé net, sans choc apparent avec un OFNI, là, c'est quand même plus inquiétant ! Comment sont faits les calculs de résistance et de fatigue des pièces mécaniques ?!
En tous cas, chez GITANA, ils doivent jubiler ! (eux qui avaient eu quelques soucis sur la dernière transat Jacques Vabre en double).
alors pas trop de souci la desssus
aujourd'hui tu mets le bateau a l'eau le matin et l'après midi tu voles a 35 noeuds sans casse !!!!
j 'en suis encore bluffé !
il y a 40 ans ca bricolais a tout vas et cassait pendant des mois avant d'être au point
le composite est arrivé avec ses moyens hi tech et ses ingénieurs
finis le patron du chantier qui sort une tige en inox au hasard en disant ca devrait aller
Et as t'on la certitudee que la bille de bois n 'as pas impacter plus légérement la bille de bois ??? moi pas !!!!
- doublemexpress
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
Ce que le mode records ne permets pas
https://voilesetvoiliers.ouest-france.f ... efac77e04a
"Ils les attends ? "
Non pas les autres concurrents, les bonnes (meilleures en tout cas) conditions météo
https://voilesetvoiliers.ouest-france.f ... efac77e04a
"Ils les attends ? "
Non pas les autres concurrents, les bonnes (meilleures en tout cas) conditions météo
Michaël, l'ABB ......... Astronaute Belge Béotien ....
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
La décision du team Gitana Edmond de Rothschild de s'arrêter aux Açores est logique et responsable. Charles a "course gagnée" et il serait dommage de risquer de la casse dans une très forte tempête. Il a quand même entre les mains un trimaran de 5 millions ou 10 millions d'euros !! (Je ne sais pas trop la valeur de ce genre de bateau). C'est une décision de bon marin. Un créneau semble possible pour une arrivée dans la nuit de samedi à dimanche, et un accueil triomphal au ponton dimanche matin. L'aspect "médiatique" doit aussi compter.
- gloups
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
Comme tu dis c'est pas un records et ca sert a rien de casser le bteau pour arriver plus tot alors que tu a course gagner. En plus d'apres certain Gitana n'est pas au mieux de ca forme et l'équipe a deja penser à un arret au bresil a un moment..doublemexpress a écrit : Ce que le mode records ne permets pas
https://voilesetvoiliers.ouest-france.f ... efac77e04a
"Ils les attends ? "
Non pas les autres concurrents, les bonnes (meilleures en tout cas) conditions météo
- gattaca
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
C'est là où on se rend compte de la perf de Gabarit, dommage qu'il n'ait pas su nous en montrer sa difficulté.
- leloublan
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
Oui mais sans oubliergattaca a écrit : C'est là où on se rend compte de la perf de Gabarit, dommage qu'il n'ait pas su nous en montrer sa difficulté.
1 le choix de la date de départ
2 le facteur chance avec le météo
donc comparaison intéressante mais pas mathématique
on ne peux donc pas en tirer une conclusion ou comparaison "toutes choses étant égales "
- gattaca
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
Caudrelier était en avance en Australie. Ton choix météo concerne un pourcentage minoritaire du parcours.
La c'est pas le facteur météo, c'est le facteur matériel.
Les bateaux sont plus performants, donc oui, on est pas a toutes choses égales.
La c'est pas le facteur météo, c'est le facteur matériel.
Les bateaux sont plus performants, donc oui, on est pas a toutes choses égales.
- doublemexpress
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
Plus performants .... en vitesse instantanée ....gattaca a écrit :
Les bateaux sont plus performants, donc oui, on est pas a toutes choses égales.
Mais plus fragile .... tous auront fait au moins un arret (meme si Gitana aurait probablement fait le tour sans s'arreter) ... apparté : quid de cette situation en récord ?
J'ai hate de voir ces 4 plateformes sur un record ..... Jules verne (Equipage) ou Saint exupéry (solo)
Michaël, l'ABB ......... Astronaute Belge Béotien ....
- leloublan
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Re: Arkéa Ultim Challenge-Brest ( World Ultim Tour) 2024
C 'est tentant de toujours comparé la perf en course et le record
mais il faut être réaliste il faut pondérer
un record tu peux choisr ta date de départ et tu peut y aller plusieurs fois
Donc la comparaison resteras toujours bancale ,interressante mais bancale
la on a une situation ou le leader , potentiel vainqueur , choisit de s'arrêter pour sauver le
bonhomme et le bateau
Qu'aurais fait un Ultime en tentative de record??? aurais t il été au casse pipe ??
Plus fragile ?? difficile a dire car SVR aurait tapé même sans foils le dérive centrale etant commune a tous les Utimes
BP a tapé aussi en safran central et tribord Il ce n 'est pas du a la fragilité du bateau Bon le premier stop est du a la casse mais
aprés choc ou pas ?? j 'i as bien compris sur ce coup
a prendre en compte que c'etait le première fois qu 'il faisait le tour donc nav de 40 jours
Le bilan (provisoire) n 'est pas si mauvais et je dirai que si les 5 bateaux en course reviennent a Brest c'est même pas mal du tout
mais il faut être réaliste il faut pondérer
un record tu peux choisr ta date de départ et tu peut y aller plusieurs fois
Donc la comparaison resteras toujours bancale ,interressante mais bancale
la on a une situation ou le leader , potentiel vainqueur , choisit de s'arrêter pour sauver le
bonhomme et le bateau
Qu'aurais fait un Ultime en tentative de record??? aurais t il été au casse pipe ??
Plus fragile ?? difficile a dire car SVR aurait tapé même sans foils le dérive centrale etant commune a tous les Utimes
BP a tapé aussi en safran central et tribord Il ce n 'est pas du a la fragilité du bateau Bon le premier stop est du a la casse mais
aprés choc ou pas ?? j 'i as bien compris sur ce coup
a prendre en compte que c'etait le première fois qu 'il faisait le tour donc nav de 40 jours
Le bilan (provisoire) n 'est pas si mauvais et je dirai que si les 5 bateaux en course reviennent a Brest c'est même pas mal du tout